top of page

Top 5 de mes caches 1301 à 1400


Que ce fut compliqué pour moi de retenir 5 caches parmi cette nouvelle centaine ! Entre ma première participation à un Mega et des vacances dans de superbes régions, ce ne sont pas les excellents souvenirs de géocaching qui manquent ! Au final, c'est un panaché de 5 pépites aux caractéristiques vraiment diverses que je vous propose aujourd'hui : de la belle énigme, de l'exploration angoissante, de la T5 aquatique, des casse-têtes artisanaux et du paysage extraordinaire. Il y en a pour tous les goûts, et avec un total de 196 PF et une moyenne de 24,6% d'attribution de favoris, c'est une jolie sélection que je vous conte aujourd'hui.


5 - La Cité de Carcassonne 5*****

GC code : GC5XADD

# log : 1304

Il n'y a évidemment pas besoin de géocaching pour prétexter une visite aussi enrichissante que charmante de la merveilleuse Carcassonne. Sa cité médiévale est un véritable bijou historique, culturel et architectural, dans lequel j'ai adoré flâner. Ceci étant dit, nous avons tout de même taquiné trois boites dissimulées dans l'enceinte de murailles : une tradi, une wherigo, et cette mystery.

La wherigo "LE TRESOR DE CARCASSONNE" de milgps fait partie de ces wherigos intelligemment conçues en jouant les guides interactifs et en nous menant de manière ludique vers différents points remarquables. La cartouche nous a ainsi permis d'arpenter la cité de Carcassonne en long, en large et en travers, découvrant tours, remparts, église, théâtre et autres ruelles pavées via les différentes étapes du jeu virtuel.



Néanmoins, c'est la mystery "La Cité de Carcassonne 5*****" posée par obiwan11 que j'ai choisi de retenir, privilégiant ainsi une énigme comme je les aime tant : une énigme à tiroirs de difficulté 5. J'ai adoré la résolution progressive, étape après étape, tirant sur un fil puis sur un autre pour dénouer l'ensemble, jusqu'à arriver à l'obtention des coordonnées finales et un sentiment mêlé de ravissement et de fierté. Sur place, l'aventure se conclut de manière poétique en faisant écho au joli texte descriptif de la mystery : c'est sous le soleil que je brandis la clé de la citadelle !


Un lieu exceptionnel, une énigme maligne, une météo resplendissante. J'ajoute à cette liste déjà bien fournie le dernier ingrédient qui vient parfaire cette géocache : le partage. Je suis très heureux d'avoir traversé la cité de Carcassonne en compagnie de ma famille, et d'avoir fait découvrir à mes filles un site qu'elles ont énormément apprécié et dont elles se souviennent encore aujourd'hui.


4 - Le terril plat de Wallers Arenberg

GC code : GC1B40G

# log : 1365

A l'instar de la sortie diluvienne racontée dans un précédent Top 5, "Le terril plat de Wallers Arenberg" est l'une de ses caches où, sur le moment, tu te demandes ce que tu es venu faire dans cette galère et tu jures que l'on ne t'y reprendra plus, mais une fois le cauchemar digéré, tu y repenses (des mois, des années plus tard ?) avec douceur et humour... Si lors de ma première confession ce fut une épreuve physique avec un soupçon psychologique, cette fois la tendance est inversée : une bonne grosse angoisse saupoudrée d'un peu de douleur corporelle.

Le cadre de cette expérience traumatisante fut le GeoNord 2016, le premier Mega auquel j'ai participé (j'aurai l'occasion de vous en reparler en bonus de ce Top 5). Pour l'occasion, eRudy m'accompagnait pour former la célébrissime Team des Zincous, une Team exceptionnellement enrichie de nos compagnes et enfants respectifs. Cette grande première fut truffée de chouettes expériences et de formidables souvenirs (promis, promis, j'y reviendrai tout à l'heure), mais aussi de défis auto-fixés. Parmi eux, nous souhaitions profiter de la pose de caches nombreuses et variées des organisateurs pour battre notre record du nombre de types de géocaches loguées en un jour. Jusqu'à cette cache, nous avions validé, dans l'ordre, wherigo, Mega, labcache, tradi, letterbox et earthcache. Avant de signer le logbook d'une mystery sur le fil (à 23h49), il nous fallait vaincre une multi...

Notre choix s'est porté sur cette cache de Leonas, profitant par la même occasion du terril et de son environnement pour valider deux earthcaches au passage. Si le premier waypoint n'avait posé aucun souci, la suite s'avérerait nettement plus délicate, en particulier le deuxième point intermédiaire. La preuve la plus flagrante reste l'écrémage de la Team. Au commencement, nous partîmes 8. Mais après un transport en voiture entre la première et la deuxième étape, la fatigue aidant, nous nous sommes retrouvés à 4 (dont un bébé) au moment de nous remettre en marche. Quelques minutes et quelques pas plus tard, c'est un groupe de 1 qui s'avançait face au danger. En effet, à quelques dizaines du PZ, l'énorme, hostile et pentu talus sur lequel nous sommes arrivés ne permettait pas de faire descendre un adulte portant un bébé en toute sécurité. C'est donc seul que j'ai réalisé la cascade et que je suis tombé sur ça :


Je ne sais pas si vous vous en rendez bien compte avec la photo, mais ce "tunnel" peu accueillant ne doit pas dépasser un mètre en largeur et ne doit pas mesurer plus en hauteur. Quant à sa longueur, je l'ai très précisément estimée à "plusieurs %*#$ de dizaines de mètres" : même en pointant une lampe torche depuis l'entrée, impossible d'en voir le fond. La question qui se pose désormais est la suivante : l'appel de la géocache est-il plus fort que la raison ? Réponse : oui. Est-ce du courage ? Réponse : non. Je me suis bien aventuré dans cette cavité sordide, non pas à quatre pattes, mais en marchant en canard, histoire de pouvoir tenir l'appareil photo et filmer bêtement mes mésaventures (ou laisser un testament vidéo) et par la même occasion anéantir chaque cellule des muscles de mes cuisses. Je n'oublie pas au passage de saluer les millions de milliards de moustiques rencontrés dans cette humide galerie ! Bref, un véritable calvaire physique qui a, une fois arrivé au bout, laissé place à une terreur psychologique.


Ne trouvant rien, mais alors absolument rien au bout du souterrain, je n'ai pas trouvé mieux à faire que de m'occuper l'esprit avec la réflexion suivante : et si jamais ce tunnel s'effondrait sur moi ? Mais pourquoi, POURQUOI TU PENSES À ÇA MAINTENANT ??? Pourquoi cette immense butte sous laquelle tu te trouves choisirait justement, après des décennies ou peut-être même des siècles, le moment où tu la traverses pour s'écrouler et t'ensevelir sous des tonnes de terre ? Pourquoi ????? Pourquoi, pourquoi, pour-quoi ??? La torture mentale va alors plus loin en réalisant que, si jamais je me blessais, mes compagnons trop éloignés n'entendraient assurément pas mes cris. Et je ne parle même pas de l'inefficacité d'un smartphone dans un tel lieu...

Au final, j'en suis sorti, vivant, sale et couvert de piqûres de moustique. Mais comme je l'ai écrit plus haut, je n'ai vu aucun indice menant au troisième et dernier waypoint. Pire, en relisant aujourd'hui le descriptif de la cache et les logs de mes camarades, je crois comprendre qu'il n'était même pas nécessaire de pénétrer dans cet effroyable tunnel et que je me suis infligé ce supplice inutilement. Ha... Haha... HahahahaaaHAAAHAAAAAA... Pardon...

Pour l'anecdote, sachez que eRudy et moi (la Team de 1 étant finalement devenu une Team de 2) avons conclu comme il se doit cette multi. C'est avec un peu d'astuce, pas mal d'observation et énoooOooormément d'obstination que nous avons fini par identifier le spot final et y débusquer la boite dans un hurlement de rage et de soulagement ;)

3 - [GN16] Akwadrenaline #7

GC code : GC6EYK1

# log : 1348

Attention les yeux !! T5 en approche !! Frissons, sueur et adrénaline au programme !! De la haute voltige arboricole ? Nooooooon... Une descente spéléologique dans les entrailles de la planète ? Non plus... Non, moi, pour ma première T5, j'ai placé la barre au plus haut, repoussant toutes les limites et affrontant d'inimaginables dangers. Ma première T5, je l'ai bravée ..... en pédalo ! Je ne vais pas ouvrir ici un débat sur la cotation Terrain, certains associant la dangerosité et/ou un effort physique intense pour la note maximale, alors que Groundspeak définit une T5 comme "nécessitant un équipement spécialisé tel qu'un équipement de plongée, un bateau, un équipement d'escalade ou tout autre équipement similaire".

Tout comme celle classée en 4ème position de ce Top 5, cette cache fut découverte lors du GeoNord 2016. Après l'édition de 2015 consacrée à la terre, le Mega 2016 respectait lui aussi la thématique des 4 éléments en se concentrant cette fois sur l'eau. De nombreux aspects du rassemblement faisaient ainsi référence à l'eau (il me semble vous avoir déjà dit que je reparlerai de ce Mega en bonus de ce Top 5, non ?) et particulièrement la série de 8 caches Akwadrenaline. Hormis la #5 de la série qui est une wherigo testant nos connaissances sur l'eau, les autres étaient toutes des T5 aquatiques. Si la plupart d'entre elles constituaient un circuit à réaliser en kayak depuis le port de plaisance de Saint-Amand-les-Eaux, c'est aux #7 et #8 que eRudy et moi nous sommes attaqués. Accompagnés de nos filles ainées respectives, nous avons embarqué à bord d'un pédalo, seul moyen de naviguer sur le plan d'eau du parc où se tenait le Mega.

Il s'agit donc bien ici de T5 puisque l'accès aux deux caches passe inévitablement par l'utilisation d'un matériel particulier (ayant oublié mon masque et mon tuba dans ma boite à gants, le choix du pédalo s'est imposé à nous). Quant à ceux qui doutent du caractère sportif de la chose, je les invite à consulter mes pauvres cuisseaux fragiles et endoloris qui, il faut bien l'avouer, sont bien plus habitués à courir qu'à pédaler. Bref... La #8 était déjà pas mal dans son genre puisqu'il fallait voguer jusqu'à un pont sous lequel était dissimulée la boite. Je me souviens d'ailleurs d'une folle course avec un pédalo "concurrent" et d'un finish au coude-à-coude (ou plutôt pédale contre pédale) pour atteindre les premiers l'arcade sous le fameux pont ^^ Mais c'est davantage la #7 qui m'a marqué, étant donné que la cache se situait juste à côté de ..... l'énorme fontaine centrale du point d'eau ! Évidemment, les organisateurs se sont bien gardé de couper l'alimentation de cette fontaine durant notre exploration aquatique, et c'est donc luttant contre les mouvements de l'eau agitée et contre les cris des enfants se faisant tremper par les jets d'eau que nous avons tenté d'approcher le plus près possible du PZ. Une fois arrimés (plus ou moins), nous avons découvert un excellent contenant qui venait conclure parfaitement cette humide aventure : un canard qui flottait là renfermait un logbook miraculeusement sec. Quel chouette souvenir !


2 - ♥ 4#C que du bonheur ♥ Mystery

GC code : GC6BDJX

# log : 1327 Jamais une série n'a si bien porté son nom ..... à une lettre près désormais, puisque l'appellation "CT que du bonheur" conviendrait davantage maintenant que 25 des 28 caches de la série de stefgreg de steelina ont été archivées. Pour notre plus grand malheur, le poseur a constaté que la plupart de ses boites ont été endommagées, voire volées ..... oups .... je voulais dire "mystérieusement disparues". Et quand on sait qu'il s'agissait de l'atout principal de cette série, et surtout quand on imagine le temps consacré à leur réalisation, on ne peut que compatir, plaindre ce pauvre confrère, et pleurer la perte d'un circuit haut de gamme.

Ce sont en effet les contenants mis en place par stefgreg de steelina qui m'ont littéralement bluffé et fait passer d'excellents moments (parfois un peu longs ^^). Des casse-têtes ! J'a-dore ça !! J'ai non seulement pris mon pied à les découvrir, et surtout à tenter d'ouvrir ces boites, mais j'ai également été impressionné car il s'agissait de bricolages artisanaux. Du 100% fait maison qui rend la manipulation encore plus plaisante ! J'ai déjà pu vous le confier à plusieurs reprises : je me régale lorsque je mêle réflexion et géocaching, évidemment dans la résolution d'une énigme de mystery, mais bien plus encore sur le terrain lorsque je dois comprendre comment atteindre le logbook, manipulant la boite, observant ce qui m'est proposé, détectant les subtilités jusqu'à déceler le mécanisme menant à l'ouverture. Dans ce domaine, la série C que du bonheur était un délice. Rendez-vous compte : je n'ai pu faire que la moitié de la série, et j'ai manqué des caches à plus de 40, plus de 60 et même plus de 90 PF !! Mon analyse du circuit est donc incomplète, mais je me permets néanmoins de vous présenter mon tiercé gagnant avec, dans l'ordre, les puzzle #4, #2 et #7 :




Attendez ! Ce n'est pas fini ! L'inventivité et la créativité de stefgreg de steelina ne s'arrêtent pas là ! Non satisfait de poser de "modestes" boites casse-tête, son imagination débordante se retrouvait dans d'autres aspects de ses caches. Prenez par exemple la dernière boite juste au-dessus, la #7. Il s'agissait du final d'une multi, mais comment obtenir ses coordonnées ? Et bien tout "simplement" en fouillant un arbre couché au premier waypoint et en y retrouvant 6 rondelles de bois sur lesquelles étaient gravées au recto les lettres A à F, et au verso des chiffres à intégrer dans le calcul des coordonnées :


Oui, je n'ai jamais trouvé le D... Maudit soit-il !!! Peu de moyens utilisés donc, mais beaucoup d'idées, comme sur la cache #6 où il fallait repérer un micro tube noir parmi des dizaines de vis en plastique de la même couleur qui ressemblaient à s'y méprendre au contenant perdu ! Simple encore une fois, mais ludique et efficace. Du talent et de l'originalité, une envie de surprendre et d'amuser les géocacheurs que j'ai véritablement savourés, tout comme les décors traversés, entre terril, bois, étangs et vestiges ferroviaires...


1 - #9 Montée Grand Morgon - Sommet

GC code : GC6J90J

# log : 1388 Si vous avez déjà lu mes autres Top 5, primo, je vous aime, secundo, vous vous êtes probablement aperçu que je passais régulièrement des vacances du côté du lac de Serre Ponçon. A chaque fois que nous nous y rendons, le géocaching nous sert de guide de montagne et nous fait découvrir des balades autour du lac toutes plus incroyables les unes que les autres. Parmi les différentes randonnées que nous avons eu la chance d'effectuer, ma préférée à ce jour est sans doute celle qui conduit au grand Morgon. Partant de l'incontournable abbaye de Boscodon, la série de 13 caches conçue par AlbanLeclere mène jusqu'au pic du Morgon, étape par étape, palier après palier. Ainsi, les trois premières peuvent être réalisées en voiture, puis les #4 à #6 lancent les hostilités avec un sentier montant jusqu'au cirque de Morgon, première merveille naturelle de cette randonnée.


Après l'effort pédestre dans l'ascension (particulièrement pour les enfants), cette vaste étendue verte apparaît telle une oasis dans la montagne de pierre. Même si le lieu est fréquenté par les touristes randonneurs, on se sent seul au monde, privilégié, tranquille, serein, au-dessus de nos soucis. C'est aussi calme que grandiose, aussi splendide que reposant, et d'ailleurs, à chaque fois que nous avons fait cette randonnée, c'est dans ce cirque de Morgon que nous avons pique-niquer. Le lieu est idéal pour se détendre, pour se ressourcer, mais aussi pour observer les marmottes parfois intriguées par les visiteurs.



Située non loin de notre point de chute, la #13 de la série est la dernière que j'ai pu faire en compagnie des enfants. La suite de l'expédition, à savoir les caches #7 à #9 se feront sans elles, compte tenu de la pente de plus en plus raide à grimper, encore trop raide pour leurs petites jambes. Et même pour le marcheur peu habitué à randonner en montagne que je suis, l'effort est nettement plus prononcé. Mais AlbanLeclere a eu la bonne idée d'intercaler des aires de repos sur le chemin via ses géocaches, et quelques coups d’œil dans le rétro pour profiter d'une vue de plus en plus spectaculaire motivent à aller toujours plus haut.



Le vert du cirque de Morgon se mêle au bleu du ciel et du lac. Ce dernier qui parait habituellement sans limite est de plus en plus petit, de plus en plus loin, cerné de toutes parts par un nombre incalculable de montagnes.

J'en prends autant dans les yeux que dans les jambes, mais le point culminant de la balade est bien le sommet. Me voilà à 2324 mètres d'altitude, au sommet du Morgon. De là, je contemple, sans un mot. C'est beau. Qu'est-ce que c'est beau ! Le cirque, le lac, les montagnes, le panorama sont encore plus incroyables. A cela s'ajoute un nouveau point de vue, celui sur les crêtes, avec des couleurs dingues.

Je regarde dans tous les sens, depuis plusieurs endroits différents, essayant de profiter au maximum de cet instant qui m'est offert. J'emmagasine des souvenirs, des sensations, je prends beaucoup de photos aussi, pour moi bien sûr, mais surtout pour partager par la suite avec mes enfants qui n'ont pas pu monter jusqu'ici. J'ai été tellement scotché par ce spot fabuleux qu'après avoir entamé la redescente de plusieurs dizaines de mètres, j'ai dû faire demi-tour et remonter car j'avais oublié de chercher la cache (true story). Sur le chemin du retour, je me suis dit qu'il faudra absolument que je revienne : accessoirement pour compléter la série de caches en traversant les crêtes, mais surtout pour y emmener ma famille. Il faut qu'elles dévorent cela de leurs propres yeux.

Mais aussi...

"Les communes du Nord : Wallers" (GC6N2FA) avec un contenant et surtout un logbook hors normes qui m'ont directement mis dans le bain du GeoNord 2016.


"GeoNord 2016 - A beautiful day to explore" (GC6B7TG) qui fut le préambule du Mega GeoNord 2016. Loin d'être une simple mise en bouche, cet event fut pour moi l'occasion de participer et de me régaler à ma première Mystery Academy ! Je vous ai déjà dit que j'aimais les énigmes ? Environ 617 fois ? Dans ce cas, pour la 618ème fois : J'ADORE LES MYSTERY !! Alors je ne vous cache pas que m'asseoir autour d'une table en compagnie d'autres géocacheurs pour plancher 2h30 durant sur 27 énigmes inédites brillamment concoctées par les admirables (et admirés) Braddigan et MamieGateau fur pour moi un pied phénoménal ! L'orgasme fut atteint avec un FTC (First To Check) sur la mystery #12 et un trophée remporté en conséquence.


"GeoNord 2016 - Retour aux Sources" (GC5XMTZ) : mon premier Mega ! Que dire si ce n'est que j'étais comme un gosse au rayon jouets pendant Noël ! Un nombre hallucinant de géocacheurs au mètre carré, plus ou moins la même quantité de codes d'objets voyageurs (c'est particulièrement impressionnant la première fois qu'on se balade sur un parking de Mega), un véritable marché de Noël du géocaching (sauf qu'on est en juillet et que les pains d'épice et le vin chaud sont remplacés par des trackables et des boites), et des activités en veux-tu en voilà : signature de logbooks originaux incomparables, capsule temporelle, jeux concours, pédalo, tyrolienne, et bien évidemment les ludiques labcaches, qui furent d'autant plus remarquables qu'elles étaient toutes en rapport avec la thématique de l'eau. Un travail et une organisation de folie, pour une journée inoubliable avec au bout l'envie de revenir l'année suivante...


Articles à la une
Articles récents
bottom of page